Chapitre 9, Comme dans un film d'horreur
Et oui, un ami imaginaire a réussi à infiltrer ma pauvre petite famille !
Kuro : « Arrête ton cirque Leen. C’est mon meilleur ami, Michael ! »
Ah, parce que ce truc a un nom aussi !
Kuro : « Bien sûr ! Et ce n’est pas un truc. S’il te plait, n’en parle pas à mes parents… Je ne voudrais pas qu’ils croient que je suis aussi folle que Mido »
Ça, c’est méchant. Et puis Mido n’a pas eu d’ami imaginaire, elle !
Du coup, je me suis dit que ce serait bien si au lieu de rester un parasite, l’ami imaginaire devienne normal. Donc Mido et Kuro, vous allez vous mettre à la compétence logique mes cocottes !
Pour commencer, il faut bien travailler à l’école… Compris Kuro ? Sinon je le vire ton Michael !
Kuro : « Gloups… »
Midori : « Ne t’inquiète pas, c’est du bluff pour que tu travailles bien, c’est tout. »
Midori, si tu as des mauvaises notes, je t’interdis Victor !
Midori, manquant de s’étouffer : « Quoi ?! »
Mouahahaha… On va voir si c’est du bluff, tiens.
Pendant que je menaçais blablatais, y’en a un qui a décidé de montrer le bout de son nez…
Ao : « Aiiiiiiiiiiie !! »
Courage Ao, ça va aller.
Ao : « Je crois pas non – aiiiiie…. »
Pour faire passer la douleur, tu as décidé de faire un tour de voiture !
Ao : « Nan ! Je vais à l’hôpital ! »
Qu-Quoi ?!
Ao : « Tu m’as bien entendu ! Je ne me laisserais pas torturer par une sorte de voix sadique qui m’ordonne de rester souffrir à la maison ! »
Je trouvais ça classe comme tradition moi.
Ao : « Prends ma place et on verra si c’est classe »
Gnagnagna…
Ao, toute fière, se rend donc à l’hôpital… tsss… Elle a intérêt de sortir avec un joli bébé ! Et s’il y en a deux… On le noiera !
Ao : « Aiiiie… Crève ! »
Ao ressort donc toute fière avec son bébé enveloppé dans des linges roses dans les bras… Une nouvelle Potentielle Héritière. Coucou toi… !
Ao : « Malia, elle s’appelle Malia. »
Tu as décidé de rompre les traditions toi, aujourd’hui.
Ao : « Oui. Ma fille ne portera pas de prénom japonais. »
*soupire*
Elle m’a l’air toute mignonne, c’est déjà ça. Ça allège un peu cette journée cauchemardesque ! Après les Amis Imaginaires, ma fondatrice se rebelle… Non mais je vous jure.
Ao : « Bien sûr qu’elle est mignonne, c’est ma fille ! »
Modestie, quand tu nous tiens…
Ah mais c’est pas fini ! Ma chère petite Ao fête son anniversaire… Il est temps de mûrir Ao !
Ao : « Ahahaha… Crois-moi, je vais t’en faire baver avec les crises de la cinquantaine ! »
Ouais ouais, je te crois.
Tu as pris quelques rides mais tu es toujours aussi jolie – ça me fait bizarre de te faire un compliment cependant tu es ma création donc je ne peux qu’en être fière.
Ao : « Je ne sais pas comment prendre cette remarque… »
J’ai invité quelques vrais sims pour que Kuro se socialise avec autre chose que ce machin coloré derrière. Ça a l’air de bien marché pour le moment…
Kuro, pense : « Mais ils ne sont pas du tout comme Michael. Michael est bien mieux ! »
Blablabla… T’inquiète, ça va changer. Du moins je l’espère…
Kuro a abandonné le garçon pour trouver un remède à Michael…
Kuro : « J’y arriverais ! J’y arriverais ! »
Ouais, bah déjà, essaye de ne rien faire exploser s’il te plait… On n'est pas riche.
Tout le monde est tellement occupé que les parents ont appelé une babysitter. Elle n’est pas mauvaise. Pour l’instant …
M-Midori ?!?!
Midori, pense : « Sauve-moi !! Il me colle depuis tout à l’heure et je n’arrive pas à lui faire comprendre que j’ai déjà un petit ami ! »
Sors de ce bus et rentre !
Midori, respire profondément : « Dis euh… Je viens de me souvenir que eh… ma mère m’a demandé de veiller sur mes sœurs ! »
? : « Ah, c’est dommage… ! La prochaine fois alors ! »
Midore, pense : « surtout pas ! » dit : « Ouais ouais ! »
Midori fait connaissance avec sa petite sœur, Malia !
Midori : « Trop choupi ! J’en veux une comme ça, moi aussi ! »
Pas pour tout de suite hein !
Les filles travaillent maintenant – Kuro parce qu’elle veut que Michael devienne sims et Mido parce qu’elle veut revoir Victor… C’est grave ce que vous êtes prête à faire pour des garçons, quoi !
Mido : « Chut ! Tu nous déconcentres. »
Olala, je m’en vais…